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Le sens de l'hypnose selon Milton H. Erickson



Le sens de l'hypnose selon Milton H. Erickson
Dans ses représentations sociales et communes, l’hypnose est réduite à une forme de suggestion ou à des comportements manipulatoires déclinés sur plusieurs registres :
• Celui du behaviorisme avec des représentations centrées sur la suppression immédiate des symptômes
• Celui du spectacle dans la mise en scène de jeux de rôles qui font croire à la réalité du pouvoir d’un être humain sur un autre, comme le serpent Kaa avec Mowgli.
• Celui d’un état de sidération provoqué par la peur pour diminuer la douleur ou la souffrance (comme lors d’un attentat, d’un accident dans lequel le sujet se protège en se dissociant afin d’échapper à une réalité invivable).

I - Confusion sur les significations de l’hypnose

Elle a des effets jusque dans le rapport de l’INSERM de 2015 qui, tout en publiant des résultats significatifs sur l’hypnosédation, les colopathies fonctionnelles, le syndrome du côlon irritable, ne peut en rendre raison. De quelle hypnose s’agit-il, de la suggestion autoritaire ou de l’hypnose relationnelle et de la créativité ? Si ce rapport reconnaît l’intérêt thérapeutique potentiel de l’hypnose dans ces indications, il ne précise jamais la signification de ce terme, rendant de ce fait difficile la compréhension du processus actif dans les modifications corporelles observées.

Faire des recherches pertinentes sur l’efficacité de l’hypnose impliquerait de définir à quelle représentation de l’hypnose on fait référence ; cette clarification nous semble indispensable si l’on veut, comme nous l’indique le rapport de l’INSERM, non seulement «réaliser des études comparatives randomisées », mais aussi « mener des études qualitatives indispensables pour déterminer ce que les patients ont vécu subjectivement lors de ces prises en charge, ce point de vue subjectif étant essentiel compte tenu des cibles thérapeutiques de l’hypnose».

II - L’hypnose, à la fois un état et un processus

Il est important que la façon dont on étudie chacun de ses aspects soit adaptée à son objet.

• En tant qu’état, on peut s’appuyer sur les travaux neurophysiologiques qui existent et dont les résultats sont connus et validés (modifications dans le cortex cingulaire antérieur, etc.)

• En tant que processus, l’hypnose est une modalité du corps relationnel, en lien avec les neurones miroirs. Les études à ce sujet, en montrant le lien entre l’accordage corporel, le mouvement et l’intentionnalité, ouvrent une perspective de recherche sur la manière dont le processus hypnotique se déroule dans la remise en mouvement du sujet bloqué sur son symptôme. Il est essentiel de comprendre que la manière dont le sujet accueille ou rejette sa sensorialité, en lien avec son vécu affectif et relationnel, participe à l’activation ou au blocage des processus de changement.

• Le terme « état modifié de conscience » que l’on retrouve dans beaucoup d’ouvrages n’est évidemment pas adéquat. Au moins pour trois raisons :

- Parce que l’être humain modifie sans arrêt son état de conscience, sinon ce serait croire qu’il existe un état non modifié de conscience, ce qui n’a pas de sens. Si la notion de modification peut signifier quelque chose, il vaudrait mieux préciser que dans le processus hypnotique on observe une modification attentionnelle.

- Il serait préférable de reprendre la formulation de François Roustang d’une « perceptude », qui indique une perception non pas réduite à la conscience représentative, mais impliquant la totalité du corps sentant dans son monde.

- Enfin, comme l’hypnose est une modalité de la relation permettant la créativité, il est nécessaire de faire apparaître l’importance d’une écoute thérapeutique sans a priori, on pourrait parler d’une écoute amplifiée. Le thérapeute ne veut rien pour le sujet, il est simplement là. Françoise Dolto dirait : « Je n’y comprenais rien, mais j’étais toutes oreilles. Et c’est déjà pas mal ».

III - Une relation sécure…

C’est ce processus qui permet la mise en place d’une relation sécure, dans laquelle, comme nous le rappelle Erickson « il n’y a pas de résistance », mais une relation de coopération. C’est cette coopération qui est la condition de la ré-association, dans laquelle le sujet, en sécurité, peut refaire l’expérience d’être libre dans la continuité du lien. Il s’agit au sein d’une relation sécure, de permettre au sujet d’accueillir ses affects, pour remettre en mouvement la singularité de son processus de pensée.

Elle favorise une « régulation émotionnelle » qui est l’un des effets de l’expérience « d’autonomie relationnelle ». On peut donc dire, pour commencer, que l’hypnose thérapeutique est une autohypnose relationnelle. Cette expression porte une contradiction qui n’est qu’apparente : une autohypnose, donc un processus interne au sujet, mais relationnel, c’est-à-dire ou le sujet n’est pas seul.

Comment être autonome tout en étant en relation ? Cette question est la clé pour comprendre l’hypnose comme processus (psycho) thérapeutique. En expérimentant une relation sécure dans laquelle le sujet, aussi bien que le thérapeute, est impliqué. C’est ce type de relation qui permet la créativité, autant chez l’un que chez l’autre. Cette relation co-créatrice se traduit par un lâcher-prise qui implique pour le sujet l’acceptation de sa vulnérabilité et la traversée de ses angoisses d’abandon. En même temps, le thérapeute est en position d’acceptation inconditionnelle, il accepte tout, même s’il ne se passe rien. Mais pour accéder à ce fameux lâcher-prise, pour pouvoir rentrer en relation avec soi-même, il faut être en confiance dans la relation à l’autre.

Être en relation à l’autre pour être en relation à soi, c’est le processus hypnotique au sein de la dynamique relationnelle. En somme un thérapeute présent, dont le seul but est que le patient se saisisse de sa propre liberté.

On est donc bien loin de la simple réduction du sens de l’hypnose à la suggestion où le thérapeute pense à la place du sujet et sait ce dont il a besoin !

IV - La vision éricksonnienne de l’hypnose

Cette vision de l’être humain est inscrite dès le départ dans le travail de Milton Erickson qui prend ses distances avec le behaviourisme de l’hypnose-suggestion du XIXe siècle, en critiquant, dès le début de ses recherches, les échelles standardisées d’hypnotisabilité de Clark L. Hull. Cette critique n’est compréhensible que par l’attention que portait Erickson à la singularité du sujet. Il lui arrivait souvent de comparer le caractère unique et original de chacun à celui d’empreintes digitales.

Erickson dessine ainsi une anthropologie relationnelle de l’être humain, anthropologie où la singularité émerge d’une relation vivante ; et où cette singularité est utilisée comme l’outil thérapeutique par excellence. Lorsque le sujet vit une relation sécure et vivante, il habite son corps, c’est-à-dire qu’il est dans la capacité de lâcher prise, de faire confiance à l’autre pour se retrouver dans un espace partagé où « plus je suis en relation avec l’autre, plus je suis en relation avec moi-même ».

Nous pouvons donc comprendre, pourquoi Erickson affirme que l’« On avance trop souvent, de manière mal fondée et injustifiée que, comme l’état de transe est induit et maintenu par la suggestion, et comme les manifestations hypnotiques peuvent être suscitées par la suggestion, tout ce qui se développe en hypnose doit nécessairement être entièrement le résultat de la suggestion et être fondamentalement une expression de celle-ci.
En réalité, c’est tout le contraire de ces conceptions erronées, et la personne hypnotisée demeure la même personne.

«(...) L’induction est le maintien d’une transe qui permet de disposer d’un état psychologique spécial dans lequel le patient peut réassocier et réorganiser ses complexités psychologiques internes et utiliser ses propres aptitudes... en accord avec ses expériences de vie personnelles ».
(Intégrale des articles de Milton H. Erickson sur l’hypnose, Tome IV, chap 4, pp 58-59)

V - Réassocier

Bien que l’on assimile souvent le processus hypnotique à une « dissociation », pour Erickson, c’est la réassociation qui est le processus actif dans l’hypnose thérapeutique, elle permet à la subjectivité d’exister à nouveau dans la relation à l’autre.
Cette approche est fondamentalement différente de l’hypnosuggestion du XIXe siècle qui a pour modèle l’apprentissage automatique associé à une vision réflexe du psychisme. Par exemple au XIXe siècle, on pouvait suggérer à quelqu’un souhaitant arrêter de fumer : « Maintenant, dès que vous aurez envie de fumer, vous aurez des nausées », ce qui est l’équivalent de prendre un médicament antitabac.

Pour Erickson, la dimension subjective reste centrale, le but de la séance d’hypnose est de permettre au sujet de retrouver dans sa relation à la cigarette, la capacité de choix qu’il a perdue dans l’addiction au tabac.
Ce choix n’existe que lorsque la personne est dans un processus de réassociation, c’est-à-dire qu’elle est, en même temps, dans une relation vivante avec soi et avec l’autre. « Si je suis dans une relation où je suis en contradiction avec l’autre sans arriver à être moi-même dans cette relation, alors ma relation (par exemple au tabac) devient un objet et l’addiction prend le contrôle ».

En ce sens, la pratique de l’hypnose thérapeutique doit pouvoir être évaluée, mais pas comme une simple technique dans laquelle le thérapeute est extérieur à la dynamique relationnelle, et donc avec la complexité que ce genre d’évaluation imposerait.

L’ÊTRE HUMAIN EST UN ÊTRE DÉTERMINÉ PAR SES RELATIONS :
L’enfant pour se construire harmonieusement doit pouvoir, comme nous l’a montré la théorie de l’attachement, expérimenter une relation sécure avec son entourage : maman sourit, bébé sourit, et l’enfant peut ensuite apprendre l’autonomie au sein d’un contexte relationnel stimulant (il peut décider de sourire ou pas dans un contexte où il se sent accueilli dans ses émotions, même contradictoires ou inattendues). Lorsqu’il y a une perte de sécurité, la relation à l’autre et la relation à soi deviennent contradictoires (si j’exprime une contradiction, je serai rejeté, mais si je me plie à l’autre je perds ma liberté), des blocages dissociatifs se mettent en place : le corps se bloque, les pensées deviennent des ruminations, l’affectif se coupe du cognitif, les gestes deviennent automatiques (rituels, addictions, comportements violents, etc.). D’où l’importance de la sécurité, donc de l’accordage comme base de la relation hypnotique.

VI - Les processus d’accordage

Le dispositif hypnotique prend en compte le développement des neurones miroirs, avec les processus d’accordage dans le développement psychoaffectif.
L’enfant va se découvrir, va avoir accès à sa subjectivité à partir de la position de l’autre. La relation à soi n’est pas directe, elle est médiatisée par la position de l’autre. Lorsque la relation à l’autre et la relation à soi sont en concordance, la relation s’installe avec du plaisir, du partage, de la différence, de la vie, du dynamisme…

Dans la relation insécure, la personne est envahie par un champ d’émotions chaotiques, elle n’est plus « dans son corps », elle est « dans la tête ». Il y a une séparation entre le vécu cognitif et les affects. Or nous savons aujourd’hui que les affects sont au centre des cognitions et qu’il n’y a pas de cognition qui se développe au départ sans une expérience affective et relationnelle.

Ainsi, l’hypnose thérapeutique a pour but d’amener un sujet prisonnier d’expériences relationnelles insécures à expérimenter des relations sécures, dans lesquelles il peut faire confiance à l’autre pour avoir confiance en lui-même, reconnecter corps et esprit, affects et pensées.

C’est cela qui est au centre de l’hypnose éricksonienne lorsque Milton Erickson dit « qu’il n’y a pas de résistance ». Quoi que fasse le sujet, derrière sa différence, il y a une intention de coopération, reconnue et mise en valeur.
Le style personnel de chacun doit être accueilli dans la relation, dans la coopération, pour que celle-ci soit vivante.
Cette pensée de la coopération ne s’exprime pas uniquement au niveau cognitif, elle est liée à une expérience corporelle et psychique dans laquelle chacun est en relation avec l’autre, et en même temps en relation avec lui-même. C’est cela qui crée un sentiment intérieur de bien-être.
Dans un monde où l’imaginaire est basé sur l’individualisme compétitif, avec très peu de moments relationnels apaisants, pouvoir prendre le temps d’être avec l’autre, de l’accueillir et de sentir accueilli, caractérise la pertinence de la relation hypnotique pour le soin dans notre culture.

VII - Aller du monde de la survie au monde de la vie

La psychopathologie est liée à un processus de blocage dissociatif, lié à une relation à l’autre basée sur la méfiance et la rivalité. Dans ce type de relation, le sujet ne perçoit pas les intentions positives de l’autre, son désir de rentrer en relation lorsque l’autre exprime des points de vue différents du sien.
L’apport de l’hypnose est lié à une expérience émotionnelle corrective rendue possible par l’accordage corporel, condition de la perception des intentions coopératives en particulier lorsque l’autre a un point de vue différent pour construire le sens de relation. Cette attention au mouvement d’accordage, lié à l’acceptation de la résistance, va permettre la réassociation en modifiant la position du sujet grâce à l’accueil de ses affects.
Ce processus de la transe, qui est d’être en même temps avec l’autre et avec soimême, est au centre du mouvement de réassociation.

On peut ainsi distinguer deux types de pratique de l’hypnose :

• Soit le sujet est non dissocié, que l’on va aider, pendant les soins, à être ailleurs (par exemple dans son jardin), à se désassocier temporairement : il est dans un espace sécure au lieu d’être focalisé sur le soin, sur l’examen douloureux. Il s’agirait d’hypnose médicale, d’hypnoanalgésie, etc.

• Soit le sujet est dans un blocage dissociatif, c’est-à-dire dans un processus psychopathologique, et l’hypnose thérapeutique vise alors à favoriser la réassociation, en créant un contexte pour que le sujet puisse mobiliser ses ressources, accueillir ses ressentis sensoriels, lâcher prise et traverser l’angoisse liée à l’arrivée de la subjectivité dans sa relation à l’autre

Par rapport à la liberté du sujet, et pour que cela ne soit pas un concept vide, il faut que la liberté soit vécue dans le corps en tant qu’une expérience, c’est-à-dire qu’il y ait à la fois du sens et de la chair. Il s’agirait ici de psychothérapie par l’hypnose, d’hypnothérapie, etc.
C’est aussi en commençant à défaire les représentations sociales dominantes qui réduisent l’hypnose à une technique et le sujet à une marionnette, que nous pourrons percevoir la place centrale de l’intelligence relationnelle et de l’imagination créatrice au sein du processus hypnotique.

Au total :
Quel est donc le champ d’action de l’hypnose ? Il est illimité. Dans la mesure où il y a un processus relationnel, on va pouvoir l’appliquer. On dit toujours qu’avec l’hypnose, les gens vont mieux, se sentent mieux, sont plus tranquilles, sont plus en sécurité avec eux-mêmes et qu’on les installe dans leur « safe place ». Proposition qui ne veut d’ailleurs, pas simplement dire le lieu sûr, mais aussi “sauf” donc « vivant », c’est-à-dire là où le sujet retrouve un espace vital.

Effectivement, nous sommes dans un monde où l’on a de moins en moins de temps. Avec l’hypnose, on peut se redonner un espace, que l’on dit souvent « ici et maintenant ». Mais étymologiquement, « maintenant » n’est pas le bon terme, parce que « maintenant » veut dire : « main-tenant ». Préférons-lui le mot « présence » parce que dans « présence », il y a un cadeau, le cadeau de la relation qui est donnée, et « présence », dans son étymologie latine, veut dire « légèrement en avant de soi ».

En hypnose, ce n’est pas ici et maintenant. Le patient est ici et ailleurs, et même le thérapeute, qui est lui-même un peu en état d’hypnose, est aussi un peu ici et ailleurs. C’est cet « ici et ailleurs » qui permet un mystère qui nous échappe et qui permet au processus thérapeutique de s’installer.

L’humanité ne cesse de se faire et de se défaire devant nous.
Donc
• si on peut proposer au sujet de disposer d’un espace dans lequel il se déplace à la vitesse qui lui convient (et pas à la nôtre !),
• si on installe cette présence thérapeutique qui revient naturellement, pour réinvestir ce présent dans un « ici et ailleurs » inscrit dans la chair avec un appel à l’imaginaire relié au corps…

Alors, effectivement, nous sommes étonnés des résultats que l’on voit émerger.
Non seulement le patient est amélioré, mais nous aussi, nous sommes améliorés.


Bibliographie
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Rédigé le Mardi 3 Mars 2020 modifié le Dimanche 15 Novembre 2020
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Laurent Gross
Vice-Président de France EMDR-IMO ® Président du Collège d'Hypnose et Thérapies Intégratives de... En savoir plus sur cet auteur





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