La notion de pensée opératoire est une construction conceptuelle introduite par les psychosomaticiens, notamment dans le cadre de l’Ecole de Paris de psychosomatique, pour expliquer les particularités cognitives et affectives des patients présentant des troubles psychosomatiques. La pensée opératoire se réfère à une manière de penser caractérisée par une pauvreté symbolique et une prédominance de l’action ou de la réalité concrète sur l’élaboration psychique. En effet, elle désigne un fonctionnement mental marqué par une pauvreté de l’imaginaire et du symbolique, une tendance à l’éviction des affects, au profit d’une description factuelle et pragmatique des événements et par une prédominance du concret sur l’abstrait, où les situations sont analysées en termes de faits et non à partir de leur résonance émotionnelle ou symbolique. En clinique psychosomatique, cette forme de pensée est souvent associée à une incapacité à verbaliser les émotions, qui peut aller jusqu’à l’alexithymie, et à un fonctionnement psychique tourné principalement vers l’action. La pensée opératoire s’installe souvent dans un contexte psychique et relationnel spécifique caractérisé par une :
• défaillance de la mentalisation (environnement familial dysfonctionnel avec des difficultés à nommer et à contenir les affects de l’enfant, entravant le développement de la capacité à penser et symboliser) ;
• prédominance des réponses somatiques : dans l’enfance, lorsque les émotions ne peuvent pas être intégrées psychiquement, elles s’expriment souvent par le corps. Cela devient un mode d’expression privilégié.
D’une manière globale, la pensée opératoire peut également être une manière de faire face aux traumatismes psychiques. En effet, en évitant la réflexion sur des émotions douloureuses, le patient se réfugie dans une pensée utilitaire et sans affect. Dans le cas des troubles psychosomatiques, le patient éprouve des difficultés à identifier, différencier ou exprimer ses émotions. Ceci est un aspect central de la pensée opératoire. Le patient va souvent décrire ses symptômes ou les événements de manière détachée, sans leur associer une dimension émotionnelle. Le langage privilégié sera celui du descriptif et du factuel, sans recours au langage métaphorique ou à une élaboration symbolique. Les conflits psychiques qui ne trouvent pas de voie d’expression par la pensée ou le langage vont se décharger par le corps. Cela explique la survenue de manifestations somatiques dans des contextes émotionnels complexes ou stressants. Lorsque la pensée opératoire domine, les émotions non exprimées ou non reconnues se manifestent directement par des symptômes physiques. Ce fonctionnement mental limite les capacités du sujet à transformer ses expériences internes en récits signifiants, ce qui aggrave la vulnérabilité au stress. Enfin, le déficit dans l’expression émotionnelle peut entraîner des incompréhensions ou des malentendus dans les relations interpersonnelles. La Thérapie du lien et des mondes relationnels (TLMR), qui a déjà fait l’objet de nombreux articles précédemment dans la Revue, est une approche thérapeutique innovante qui se distingue par plusieurs aspects originaux, à la croisée des dimensions relationnelles, émotionnelles et systémiques. Elle est une thérapeutique de choix dans le traitement des troubles psychosomatiques en se centrant sur ce qui fait lien ; aussi bien sur le plan intrapsychique qu’interpersonnel. Plutôt que de se focaliser uniquement sur l’individu ou sur ses symptômes, elle met en lumière la qualité des liens que la personne établit avec les autres, avec elle-même, avec le monde auquel elle appartient. Le lien devient le point de départ et le fil conducteur de l’exploration thérapeutique.
Nous partons du postulat que chaque individu évolue au sein de différents contextes relationnels qui représentent les espaces où se construisent et s’expriment nos relations (couple, famille, monde professionnel, relations amicales, etc.). L’ensemble de ces contextes et leurs interactions entre eux viennent structurer et enrichir ce que l’on appelle un « monde relationnel ». L’intérêt majeur de cette approche réside dans l’exploration de ce monde relationnel afin de mieux comprendre ses règles implicites et ses dynamiques spécifiques et comment l’individu interagit au sein et avec ce monde.
• défaillance de la mentalisation (environnement familial dysfonctionnel avec des difficultés à nommer et à contenir les affects de l’enfant, entravant le développement de la capacité à penser et symboliser) ;
• prédominance des réponses somatiques : dans l’enfance, lorsque les émotions ne peuvent pas être intégrées psychiquement, elles s’expriment souvent par le corps. Cela devient un mode d’expression privilégié.
D’une manière globale, la pensée opératoire peut également être une manière de faire face aux traumatismes psychiques. En effet, en évitant la réflexion sur des émotions douloureuses, le patient se réfugie dans une pensée utilitaire et sans affect. Dans le cas des troubles psychosomatiques, le patient éprouve des difficultés à identifier, différencier ou exprimer ses émotions. Ceci est un aspect central de la pensée opératoire. Le patient va souvent décrire ses symptômes ou les événements de manière détachée, sans leur associer une dimension émotionnelle. Le langage privilégié sera celui du descriptif et du factuel, sans recours au langage métaphorique ou à une élaboration symbolique. Les conflits psychiques qui ne trouvent pas de voie d’expression par la pensée ou le langage vont se décharger par le corps. Cela explique la survenue de manifestations somatiques dans des contextes émotionnels complexes ou stressants. Lorsque la pensée opératoire domine, les émotions non exprimées ou non reconnues se manifestent directement par des symptômes physiques. Ce fonctionnement mental limite les capacités du sujet à transformer ses expériences internes en récits signifiants, ce qui aggrave la vulnérabilité au stress. Enfin, le déficit dans l’expression émotionnelle peut entraîner des incompréhensions ou des malentendus dans les relations interpersonnelles. La Thérapie du lien et des mondes relationnels (TLMR), qui a déjà fait l’objet de nombreux articles précédemment dans la Revue, est une approche thérapeutique innovante qui se distingue par plusieurs aspects originaux, à la croisée des dimensions relationnelles, émotionnelles et systémiques. Elle est une thérapeutique de choix dans le traitement des troubles psychosomatiques en se centrant sur ce qui fait lien ; aussi bien sur le plan intrapsychique qu’interpersonnel. Plutôt que de se focaliser uniquement sur l’individu ou sur ses symptômes, elle met en lumière la qualité des liens que la personne établit avec les autres, avec elle-même, avec le monde auquel elle appartient. Le lien devient le point de départ et le fil conducteur de l’exploration thérapeutique.
Nous partons du postulat que chaque individu évolue au sein de différents contextes relationnels qui représentent les espaces où se construisent et s’expriment nos relations (couple, famille, monde professionnel, relations amicales, etc.). L’ensemble de ces contextes et leurs interactions entre eux viennent structurer et enrichir ce que l’on appelle un « monde relationnel ». L’intérêt majeur de cette approche réside dans l’exploration de ce monde relationnel afin de mieux comprendre ses règles implicites et ses dynamiques spécifiques et comment l’individu interagit au sein et avec ce monde.

Vignette clinique
Afin d’illustrer au mieux les propos ci-dessus, je vous propose de suivre une première séance que j’ai eu l’occasion de réaliser avec une patiente souffrant de psoriasis...
Martine a 57 ans. Elle est séparée et à deux enfants. Depuis de nombreuses années, elle est suivie par un dermatologue pour un psoriasis à plaques géant au bras droit. Celui-ci démarre du poignet et s’étend jusqu’en haut de l’épaule et occupe la surface interne et externe du bras. Elle a déjà bénéficié ultérieurement de séances de psychothérapie principalement basées sur la parole. Elle dira que d’une certaine manière cela lui allait bien puisqu’elle n’avait pas besoin de trop ressentir les choses. Pour rappel, le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique de la peau, non contagieuse, qui se manifeste par des plaques rouges recouvertes de squames blanches ou argentées. Ces plaques peuvent apparaître sur différentes parties du corps, notamment le cuir chevelu, les coudes, les genoux, le bas du dos, ou encore les ongles. Il se manifeste par une accumulation de cellules mortes à la surface de la peau, formant les squames. Malgré de nombreux traitements principalement à base de crèmes ou pommades et quelques périodes de rémission, Martine ne voit pas de franche amélioration. Elle se sent très gênée, voire honteuse, surtout en période estivale lorsqu’elle doit se dévêtir. Voici donc le script de la séance (MO pour mouvements oculaires)...
- Thérapeute : « Bonjour Martine !
- Martine : Bonjour !
- Th. : Est-ce acceptable pour vous de m’expliquer en quelques mots ce qui vous amène aujourd’hui ?
- Martine : Oui, bien sûr. C’est mon dermatologue qui m’a conseillée de venir vous voir.
- Th. : Oui...
- Martine : Voilà, je souffre d’un psoriasis au bras droit (elle tire la manche de son pull vers le bas en même temps qu’elle parle). Cela fait longtemps que j’ai ça.
- Th. : Quand vous dites longtemps, c’est combien longtemps ?
- Martine : J’ai 57 ans… je dirais depuis une bonne trentaine d’années au moins. Au début ça allait, mais cela n’a fait que grandir au fur et à mesure.
- Th. : D’accord. Nous pouvons revenir un instant sur les raisons qui ont poussé votre dermatologue à vous adresser vers moi ?
- Martine : Oui.
- Th. : Imaginons que votre dermatologue soit présent avec nous ici, maintenant, qu’est-ce qu’il nous dirait de votre venue ?
- Martine : Je crois qu’il dirait qu’il ne sait plus quoi faire avec moi et c’est pour cela qu’il m’envoie vers vous.
- Th. : Oui, j’entends, mais il sait que je ne suis pas médecin mais psychologue ?
- Martine : Oui, oui... Je crois qu’il pense que mon problème est psychologique.
- Th. : Et qu’est-ce qui l’amène à penser ça ?
- Martine : Je sais pas...
- Th. : Et vous, qu’en pensez-vous ?
- Martine : Je suis sceptique... Je ne vois pas en quoi un problème de peau pourrait être psychologique... J’ai déjà fait quelques séances avec un psy mais ça n’a rien donné...
- Th. : Si j’ai bien compris, c’est ce que pense votre dermatologue qu’il y aurait un lien entre ce problème et le psychologique ?
- Martine : Apparemment oui !
- Th. : Et vous avez confiance dans son jugement ?
- Martine : Même si je reste sceptique, j’ai confiance dans son avis. Il m’a toujours beaucoup soutenue, même dans les moments de dépression.
- Th. : De dépression ?
- Martine : Bah oui ! Des fois j’en ai tellement marre de ce truc que ça me rend triste.
- Th. : Et c’est le cas à cet instant ? La tristesse est présente ?
- Martine : Oui... (elle retient ses larmes).
- Th. : Dans ce qui est en train de se passer là, maintenant, Martine, avez-vous besoin d’aide ou bien vous gérez la situation ?
- Martine : Non, non, ça va, je gère. -Th. : Très bien, OK. Martine, puisque vous faites confiance à votre médecin et en son jugement, comment allons-nous pouvoir nous appuyer dessus afin que cet échange vous soit le plus utile ?
- Martine : S’il m’a dit de venir vous voir, c’est qu’il sait ce qu’il fait. Donc je suis prête à essayer.
- Th. : Quand vous dites “essayer”, vous voulez dire quoi ?
- Martine : Bah, que peut-être il y a un lien entre mon “pso” et ce qu’il y a dans ma tête.
- Th. : Et quel lien faites-vous s’il y a un lien ?
- Martine : Je sais pas... C’est pas clair (des larmes montent à nouveau).
- Th. : Martine, est-ce que vous acceptez que je puisse vous proposer quelque chose pour nous aider à continuer ?
- Martine : Oui.
- Th. : Martine, est-ce acceptable pour vous que votre main droite vienne se déposer paume vers le haut dans ma main gauche ?
- Martine : Oui (sa main se dépose timidement).
- Th. : Est-ce acceptable si nous partageons, vous et moi, ce que cela a comme effets lorsque nos deux mains sont en contact ?
- Martine : Oui... C’est un peu étrange. C’est un peu comme si ma main voulait se poser complètement mais que ma tête disait “non, faut pas”.
- Th. : Vous m’autorisez à partager ce qui est présent chez moi ?
Pour lire la suite...
Afin d’illustrer au mieux les propos ci-dessus, je vous propose de suivre une première séance que j’ai eu l’occasion de réaliser avec une patiente souffrant de psoriasis...
Martine a 57 ans. Elle est séparée et à deux enfants. Depuis de nombreuses années, elle est suivie par un dermatologue pour un psoriasis à plaques géant au bras droit. Celui-ci démarre du poignet et s’étend jusqu’en haut de l’épaule et occupe la surface interne et externe du bras. Elle a déjà bénéficié ultérieurement de séances de psychothérapie principalement basées sur la parole. Elle dira que d’une certaine manière cela lui allait bien puisqu’elle n’avait pas besoin de trop ressentir les choses. Pour rappel, le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique de la peau, non contagieuse, qui se manifeste par des plaques rouges recouvertes de squames blanches ou argentées. Ces plaques peuvent apparaître sur différentes parties du corps, notamment le cuir chevelu, les coudes, les genoux, le bas du dos, ou encore les ongles. Il se manifeste par une accumulation de cellules mortes à la surface de la peau, formant les squames. Malgré de nombreux traitements principalement à base de crèmes ou pommades et quelques périodes de rémission, Martine ne voit pas de franche amélioration. Elle se sent très gênée, voire honteuse, surtout en période estivale lorsqu’elle doit se dévêtir. Voici donc le script de la séance (MO pour mouvements oculaires)...
- Thérapeute : « Bonjour Martine !
- Martine : Bonjour !
- Th. : Est-ce acceptable pour vous de m’expliquer en quelques mots ce qui vous amène aujourd’hui ?
- Martine : Oui, bien sûr. C’est mon dermatologue qui m’a conseillée de venir vous voir.
- Th. : Oui...
- Martine : Voilà, je souffre d’un psoriasis au bras droit (elle tire la manche de son pull vers le bas en même temps qu’elle parle). Cela fait longtemps que j’ai ça.
- Th. : Quand vous dites longtemps, c’est combien longtemps ?
- Martine : J’ai 57 ans… je dirais depuis une bonne trentaine d’années au moins. Au début ça allait, mais cela n’a fait que grandir au fur et à mesure.
- Th. : D’accord. Nous pouvons revenir un instant sur les raisons qui ont poussé votre dermatologue à vous adresser vers moi ?
- Martine : Oui.
- Th. : Imaginons que votre dermatologue soit présent avec nous ici, maintenant, qu’est-ce qu’il nous dirait de votre venue ?
- Martine : Je crois qu’il dirait qu’il ne sait plus quoi faire avec moi et c’est pour cela qu’il m’envoie vers vous.
- Th. : Oui, j’entends, mais il sait que je ne suis pas médecin mais psychologue ?
- Martine : Oui, oui... Je crois qu’il pense que mon problème est psychologique.
- Th. : Et qu’est-ce qui l’amène à penser ça ?
- Martine : Je sais pas...
- Th. : Et vous, qu’en pensez-vous ?
- Martine : Je suis sceptique... Je ne vois pas en quoi un problème de peau pourrait être psychologique... J’ai déjà fait quelques séances avec un psy mais ça n’a rien donné...
- Th. : Si j’ai bien compris, c’est ce que pense votre dermatologue qu’il y aurait un lien entre ce problème et le psychologique ?
- Martine : Apparemment oui !
- Th. : Et vous avez confiance dans son jugement ?
- Martine : Même si je reste sceptique, j’ai confiance dans son avis. Il m’a toujours beaucoup soutenue, même dans les moments de dépression.
- Th. : De dépression ?
- Martine : Bah oui ! Des fois j’en ai tellement marre de ce truc que ça me rend triste.
- Th. : Et c’est le cas à cet instant ? La tristesse est présente ?
- Martine : Oui... (elle retient ses larmes).
- Th. : Dans ce qui est en train de se passer là, maintenant, Martine, avez-vous besoin d’aide ou bien vous gérez la situation ?
- Martine : Non, non, ça va, je gère. -Th. : Très bien, OK. Martine, puisque vous faites confiance à votre médecin et en son jugement, comment allons-nous pouvoir nous appuyer dessus afin que cet échange vous soit le plus utile ?
- Martine : S’il m’a dit de venir vous voir, c’est qu’il sait ce qu’il fait. Donc je suis prête à essayer.
- Th. : Quand vous dites “essayer”, vous voulez dire quoi ?
- Martine : Bah, que peut-être il y a un lien entre mon “pso” et ce qu’il y a dans ma tête.
- Th. : Et quel lien faites-vous s’il y a un lien ?
- Martine : Je sais pas... C’est pas clair (des larmes montent à nouveau).
- Th. : Martine, est-ce que vous acceptez que je puisse vous proposer quelque chose pour nous aider à continuer ?
- Martine : Oui.
- Th. : Martine, est-ce acceptable pour vous que votre main droite vienne se déposer paume vers le haut dans ma main gauche ?
- Martine : Oui (sa main se dépose timidement).
- Th. : Est-ce acceptable si nous partageons, vous et moi, ce que cela a comme effets lorsque nos deux mains sont en contact ?
- Martine : Oui... C’est un peu étrange. C’est un peu comme si ma main voulait se poser complètement mais que ma tête disait “non, faut pas”.
- Th. : Vous m’autorisez à partager ce qui est présent chez moi ?
Pour lire la suite...
Stéphane ROY
Psychologue, psychothérapeute, docteur en psychologie. Il est aujourd’hui installé en cabinet libéral. Il est formateur et codirige l’Institut Mimethys.
Commandez ce Hors-série de la Revue Hypnose & Thérapies brèves n°19 version Papier
SOMMAIRE
06 / Éditorial Troubles Psychosomatiques S’engager dans une médecine plus holistique bio-psycho-sociale J. Betbèze
10 / Avant-propos Une exploration de territoires où corps et esprit se rejoignent E. Bardot et S. Roy
12 / En couverture Anne Donzé et Vincent Chagnon S. Cohen
14 / Le pouvoir de l’eczéma Décontaminer le parent des effets du symptôme V. Bardot
28 / Psoriasis géant De la pensée opératoire à la pensée symbolique par la Thérapie du lien et des mondes relationnels (TLMR) S. Roy 40 / Psychosomatique et dermatologie : La peau, métaphore de la relation V. Bonnet
52 / Maux de tête et désir de perfection Sensations, externalisation et TLMR É. Bardot
71 / La controverse de médecine psychosomatique Entre corps et esprit, une fracture médicale et philosophique G. Ostermann
78 / Grand Entretien Jean Benjamin Stora et la psychosomatique intégrative G. Ostermann
94 / La psychosomatique, un phénomène hypnotique protecteur Sensations, émotions et PTR G. Brassine
106 / Honte et brûlures du cou Le symptôme somatique persistant M. Faucoup
120 / Ostéopathie et psychosomatique Enjeux et apports de la « double casquette ». Algoneurodystrophie et de douleurs abdominales P. Pétillot
134 / Quand la douleur devient l’identité Se relier à sa mobilité relationnelle M.-A. Jolly
146 / Trouble fonctionnel intestinal et syndrome anxiodépressif Signaux idéomoteurs et psychosomatiques S. Radoykov
152 / Asthme et créativité Les suggestions posthypnotiques de Proust P. Kivits
164 / L’hypnose thérapeutique, de quoi parle-t-on ? Un échange croisé, autour de l’hypnose thérapeutique É. Bardot, J. Betbèze et S. Roy 152 / Poême Ce corps K. Ficini
06 / Éditorial Troubles Psychosomatiques S’engager dans une médecine plus holistique bio-psycho-sociale J. Betbèze
10 / Avant-propos Une exploration de territoires où corps et esprit se rejoignent E. Bardot et S. Roy
12 / En couverture Anne Donzé et Vincent Chagnon S. Cohen
14 / Le pouvoir de l’eczéma Décontaminer le parent des effets du symptôme V. Bardot
28 / Psoriasis géant De la pensée opératoire à la pensée symbolique par la Thérapie du lien et des mondes relationnels (TLMR) S. Roy 40 / Psychosomatique et dermatologie : La peau, métaphore de la relation V. Bonnet
52 / Maux de tête et désir de perfection Sensations, externalisation et TLMR É. Bardot
71 / La controverse de médecine psychosomatique Entre corps et esprit, une fracture médicale et philosophique G. Ostermann
78 / Grand Entretien Jean Benjamin Stora et la psychosomatique intégrative G. Ostermann
94 / La psychosomatique, un phénomène hypnotique protecteur Sensations, émotions et PTR G. Brassine
106 / Honte et brûlures du cou Le symptôme somatique persistant M. Faucoup
120 / Ostéopathie et psychosomatique Enjeux et apports de la « double casquette ». Algoneurodystrophie et de douleurs abdominales P. Pétillot
134 / Quand la douleur devient l’identité Se relier à sa mobilité relationnelle M.-A. Jolly
146 / Trouble fonctionnel intestinal et syndrome anxiodépressif Signaux idéomoteurs et psychosomatiques S. Radoykov
152 / Asthme et créativité Les suggestions posthypnotiques de Proust P. Kivits
164 / L’hypnose thérapeutique, de quoi parle-t-on ? Un échange croisé, autour de l’hypnose thérapeutique É. Bardot, J. Betbèze et S. Roy 152 / Poême Ce corps K. Ficini
Vous êtes à la recherche d’une Formation Certifiante et Officielle en EMDR IMO ® ?
Formation Certifiée par France EMDR IMO ®.
La seule et unique Certification Officielle en EMDR IMO ® en Europe.
Cette formation vous permettra d’intégrer cet outil avec les outils thérapeutiques que vous utilisez déjà en pratique clinique.
Alors, rendez-vous à Paris, Marseille, Annecy, et bientôt Bordeaux, Nancy, Strasbourg, Lausanne et Genève, avec des instituts membres de la CFHTB, pour une formation réellement INTEGRATIVE.
www.formation-emdr.fr/
Agenda des prochaines formations
Annuaire de thérapeutes sur EMDR.FR
La seule et unique Certification Officielle en EMDR IMO ® en Europe.
Cette formation vous permettra d’intégrer cet outil avec les outils thérapeutiques que vous utilisez déjà en pratique clinique.
Alors, rendez-vous à Paris, Marseille, Annecy, et bientôt Bordeaux, Nancy, Strasbourg, Lausanne et Genève, avec des instituts membres de la CFHTB, pour une formation réellement INTEGRATIVE.
www.formation-emdr.fr/
Agenda des prochaines formations
Annuaire de thérapeutes sur EMDR.FR