LE SYMPTÔME, UN AMI ?
« « Le symptôme n’est pas un intrus ou un ennemi, il suffit de lui proposer une place pour qu’il devienne ami. » »
« Jamais contre, d’abord. La présence d’un corps », p. 15, Odile Jacob, 2015.
En quelques mots, François Roustang dessine, sans détour, la place singulière que tient le symptôme dans son univers. Tout symptôme en effet y est considéré comme « une isolation, un retranchement du flux de la vie, un arrêt, une mise à l’écart »
Les patients en rendent compte lorsqu’ils expriment leur incapacité à se mouvoir, à agir, centrés, absorbés par leur symptôme ; ce dernier prend toute la place, le temps, les relations, tel un trou noir qui attire sans répit. Cependant, met en garde notre auteur, « se focaliser sur lui a toutes les chances de le renforcer ». C’est bien sûr au patient que s’adressent ces termes, mais peut-être plus encore aux thérapeutes.
Comment alors aborder un symptôme ?
La définition donnée par François Roustang éclaire immédiatement l’orientation que prend sa démarche thérapeutique. Le symptôme est en effet « le signe de désaccord avec soi-même, avec les choses et les êtres et qu’on ne peut les entendre ». Il ne s’agit pas de considérer le symptôme « comme un mal-être intrapsychique indépendant de la situation dans laquelle se trouve la personne et des relations qu’elle entretient avec le monde qui l’entoure, le monde présent [...] ; si le symptôme existe, dit-il, c’est qu’il manque de contexte. Il vient de ce que l’on est mal placé et que l’on se place mal dans son existence ». Le symptôme fait signe que l’individu n’est plus, avec tout ce qui le constitue, en « harmonie » avec le monde qui l’entoure, harmonie au cœur de la cosmologie esquissée précédemment.
Ainsi la thérapie n’a pas pour but de faire disparaître le symptôme, de lutter contre ou de s’y opposer, mais au contraire de lui proposer une place, une place dans le présent, sa place dans l’existence. Il s’agit à l’inverse de « lui prêter attention » dans le sens de « l’inclure aussi dans le corps, de l’intégrer par et dans les gestes », de lui offrir le « corps comme un recueil ».
Puisque le symptôme n’a de consistance que par son isolation, à nouveau plongé dans la totalité de l’individu, c’est-à-dire dans l’ensemble des éléments qui constituent le tissu de sa vie, il prend une autre mesure. En lien avec tous les autres para- mètres de la vie, il n’est plus à l’écart, il ne maintient plus l’être à l’écart. Dans une harmonie redessinée, le symptôme « re- nonce alors à sa suffisance, pour n’être plus qu’un fil qui a été restauré parce que ré- intégré à l’ensemble du tissage ». L’expérience de l’hypnose offre, par sa nature et sa dynamique, le contexte qui reconduit à cette forme d’harmonie, celui qui offre à l’individu de recontacter ses propres capacités de réorganisation un temps sus- pendues par les douleurs de la vie, celui qui ouvre à d’autres possibles incluant les problématiques présentes.
« Etre attaché à son symptôme, dit au- trement François Roustang, n’est pas tant vouloir le garder que ne pas admettre qu’il soit une simple possibilité. Dès lors que l’on admet qu’il peut être une solution comme une autre, il devient dévalorisé, démysti- fié, banalisé, donc prêt à choir. » On com- prend alors que de même que l’on ne ten- tera pas de le supprimer, on se gardera de chercher un sens ou une fonction au symp- tôme, ce qui l’enkysterait davantage.
« Jamais contre, d’abord. La présence d’un corps », p. 15, Odile Jacob, 2015.
En quelques mots, François Roustang dessine, sans détour, la place singulière que tient le symptôme dans son univers. Tout symptôme en effet y est considéré comme « une isolation, un retranchement du flux de la vie, un arrêt, une mise à l’écart »
Les patients en rendent compte lorsqu’ils expriment leur incapacité à se mouvoir, à agir, centrés, absorbés par leur symptôme ; ce dernier prend toute la place, le temps, les relations, tel un trou noir qui attire sans répit. Cependant, met en garde notre auteur, « se focaliser sur lui a toutes les chances de le renforcer ». C’est bien sûr au patient que s’adressent ces termes, mais peut-être plus encore aux thérapeutes.
Comment alors aborder un symptôme ?
La définition donnée par François Roustang éclaire immédiatement l’orientation que prend sa démarche thérapeutique. Le symptôme est en effet « le signe de désaccord avec soi-même, avec les choses et les êtres et qu’on ne peut les entendre ». Il ne s’agit pas de considérer le symptôme « comme un mal-être intrapsychique indépendant de la situation dans laquelle se trouve la personne et des relations qu’elle entretient avec le monde qui l’entoure, le monde présent [...] ; si le symptôme existe, dit-il, c’est qu’il manque de contexte. Il vient de ce que l’on est mal placé et que l’on se place mal dans son existence ». Le symptôme fait signe que l’individu n’est plus, avec tout ce qui le constitue, en « harmonie » avec le monde qui l’entoure, harmonie au cœur de la cosmologie esquissée précédemment.
Ainsi la thérapie n’a pas pour but de faire disparaître le symptôme, de lutter contre ou de s’y opposer, mais au contraire de lui proposer une place, une place dans le présent, sa place dans l’existence. Il s’agit à l’inverse de « lui prêter attention » dans le sens de « l’inclure aussi dans le corps, de l’intégrer par et dans les gestes », de lui offrir le « corps comme un recueil ».
Puisque le symptôme n’a de consistance que par son isolation, à nouveau plongé dans la totalité de l’individu, c’est-à-dire dans l’ensemble des éléments qui constituent le tissu de sa vie, il prend une autre mesure. En lien avec tous les autres para- mètres de la vie, il n’est plus à l’écart, il ne maintient plus l’être à l’écart. Dans une harmonie redessinée, le symptôme « re- nonce alors à sa suffisance, pour n’être plus qu’un fil qui a été restauré parce que ré- intégré à l’ensemble du tissage ». L’expérience de l’hypnose offre, par sa nature et sa dynamique, le contexte qui reconduit à cette forme d’harmonie, celui qui offre à l’individu de recontacter ses propres capacités de réorganisation un temps sus- pendues par les douleurs de la vie, celui qui ouvre à d’autres possibles incluant les problématiques présentes.
« Etre attaché à son symptôme, dit au- trement François Roustang, n’est pas tant vouloir le garder que ne pas admettre qu’il soit une simple possibilité. Dès lors que l’on admet qu’il peut être une solution comme une autre, il devient dévalorisé, démysti- fié, banalisé, donc prêt à choir. » On com- prend alors que de même que l’on ne ten- tera pas de le supprimer, on se gardera de chercher un sens ou une fonction au symp- tôme, ce qui l’enkysterait davantage.
Bouffées de chaleur: apports de l’hypnose. Marc PICARD-DESTELAN
Je travaille sur le problème des bouffées de chaleur dans le cadre d’un établissement de soins pour des personnes souffrant de cancer, en particulier le cancer du sein. En effet, ces soins entraînent fréquemment des modifications hormonales responsables de bouffées de chaleur.
Je travaille sur le problème des bouffées de chaleur dans le cadre d’un établissement de soins pour des personnes souffrant de cancer, en particulier le cancer du sein. En effet, ces soins entraînent fréquemment des modifications hormonales responsables de bouffées de chaleur.
Les 11 principes d'Erickson. Etude synthétique
Abraham HERNÁNDEZ COVARRUBIAS. Article traduit par Gérard FITOUSSI
Erickson était réputé pour son efficacité thérapeutique et la rapidité avec laquelle il traitait les patients difficiles. C’était sa spécificité et, pour y parvenir, il n’hésitait pas à utiliser des techniques et des stratégies différentes avec un style qui lui était propre.Il n’a cependant pas systématisé ses stratégies.
Abraham HERNÁNDEZ COVARRUBIAS. Article traduit par Gérard FITOUSSI
Erickson était réputé pour son efficacité thérapeutique et la rapidité avec laquelle il traitait les patients difficiles. C’était sa spécificité et, pour y parvenir, il n’hésitait pas à utiliser des techniques et des stratégies différentes avec un style qui lui était propre.Il n’a cependant pas systématisé ses stratégies.
Note troisième. Selon François Roustang. Sylvie LE PELLETIER-BEAUFOND
En quelques mots, François Roustang dessine, sans détour, la place singulière que tient le symptôme dans son univers. Tout symptôme en effet y est considéré comme « une isolation, un retranchement du flux de la vie, un arrêt, une mise à l’écart »
En quelques mots, François Roustang dessine, sans détour, la place singulière que tient le symptôme dans son univers. Tout symptôme en effet y est considéré comme « une isolation, un retranchement du flux de la vie, un arrêt, une mise à l’écart »
Traumatismes complexes : Adaptation de l'hypnose. Olivier PIEDFORT-MARIN
Les séquelles de traumatismes complexes sont souvent un défi pour la psychothérapie à bien des égards. Par traumatismes complexes on comprend principalement des événements traumatisants pendant l’enfance et l’adolescence, événements souvent répétés ou réguliers sur de nombreuses années.
Les séquelles de traumatismes complexes sont souvent un défi pour la psychothérapie à bien des égards. Par traumatismes complexes on comprend principalement des événements traumatisants pendant l’enfance et l’adolescence, événements souvent répétés ou réguliers sur de nombreuses années.
Personne âgée démente et l'hypnose aux urgences. Marie-Laure MOUEZA
En tant que soignante, je me forme au mieux. Actuellement la réponse médicamenteuse est limitée. On ne dispose pas de traitement curatif. Les traitements non médicamenteux apportés par les soignants sont alors d’une grande importance car ils sont souvent les seuls mis en œuvre pour maintenir l’état de santé et d’autonomie des personnes. J’ai donc décidé de me former à l’hypnose.
En tant que soignante, je me forme au mieux. Actuellement la réponse médicamenteuse est limitée. On ne dispose pas de traitement curatif. Les traitements non médicamenteux apportés par les soignants sont alors d’une grande importance car ils sont souvent les seuls mis en œuvre pour maintenir l’état de santé et d’autonomie des personnes. J’ai donc décidé de me former à l’hypnose.
La respiration est le souffle de vie. Jeanne-Marie Jourdren
La vie est indissociable de la respiration. Le soin l’est tout autant : la respiration est le lien qui unit le monde intérieur du patient au monde extérieur. Quel que soit le soin effectué, quelle que soit la discipline pratiquée, le soignant devra être attentif à la respiration du patient. La respiration traduit de façon fidèle le rythme du monde intérieur de tout un chacun.
La vie est indissociable de la respiration. Le soin l’est tout autant : la respiration est le lien qui unit le monde intérieur du patient au monde extérieur. Quel que soit le soin effectué, quelle que soit la discipline pratiquée, le soignant devra être attentif à la respiration du patient. La respiration traduit de façon fidèle le rythme du monde intérieur de tout un chacun.
Mouvement de respiration. Concepcion RUANO-SICHI
"C’est toujours le même mouvement, il suffit de se fondre en lui, de s’y absorber. Tenter de revenir. Tenter de passer. Affronter l’écume et la vague. On pourrait croire que c’est un affrontement mais on aurait perdu d’avance. On n’affronte rien. Entrer dans l’océan ne peut pas être l’affronter. On entrera un peu plus loin, on s’accordera à lui. C’est toujours le même mouvement. Dans l’espace physique de la vague. Dans la pensée. C’est ce mouvement-là, exactement. La liberté qu’on prévoit, qu’on entrevoit après la barrière de la vague.
"C’est toujours le même mouvement, il suffit de se fondre en lui, de s’y absorber. Tenter de revenir. Tenter de passer. Affronter l’écume et la vague. On pourrait croire que c’est un affrontement mais on aurait perdu d’avance. On n’affronte rien. Entrer dans l’océan ne peut pas être l’affronter. On entrera un peu plus loin, on s’accordera à lui. C’est toujours le même mouvement. Dans l’espace physique de la vague. Dans la pensée. C’est ce mouvement-là, exactement. La liberté qu’on prévoit, qu’on entrevoit après la barrière de la vague.
En orthophonie, la respiration. Isabelle HUÉ-DELETTREZ
L’attention à la respiration du patient revêt, pour l’orthophoniste, une importance particulière, que la plainte concerne la voix, l’articulation, la communication bien évidemment, mais aussi dans les autres domaines d’exercice de l’orthophonie tels que le langage écrit, les troubles affectant la logique, les mathématiques, la neurologie...
L’attention à la respiration du patient revêt, pour l’orthophoniste, une importance particulière, que la plainte concerne la voix, l’articulation, la communication bien évidemment, mais aussi dans les autres domaines d’exercice de l’orthophonie tels que le langage écrit, les troubles affectant la logique, les mathématiques, la neurologie...
Observer et utiliser la respiration. Jean-Michel HÉRIN
Que ce soit dans des domaines aussi variés que l’Anesthésie, l’Hypnose, l’Acupuncture ou l’Art, la respiration est fondamentale. Ce mouvement initial est essentiel puisque, c’est un lieu commun, quand il n’y a pas de respiration, il n’y a pas de vie. De la même manière, ce qui ne bouge pas, ce qui n’est pas dynamique, est figé. Il ne « respire » pas.
Que ce soit dans des domaines aussi variés que l’Anesthésie, l’Hypnose, l’Acupuncture ou l’Art, la respiration est fondamentale. Ce mouvement initial est essentiel puisque, c’est un lieu commun, quand il n’y a pas de respiration, il n’y a pas de vie. De la même manière, ce qui ne bouge pas, ce qui n’est pas dynamique, est figé. Il ne « respire » pas.
Le souffle de vie dans la réadaptation. Jeanne-Marie Jourdren
La respiration est le premier mouvement qui nous attache à la vie : sans ce mouvement, pas d’énergie et pas de vie. Le manque de cette énergie est crucial. Cette énergie est vitale, elle nous remplit de vie. La variation de cette énergie aura des conséquences sur tout notre organisme, sur toutes les fonctions vitales. Lorsqu’elle vient à manquer, le corps met en œuvre mille et une stratégies pour compenser et préserver ce qui est de plus précieux : la vie.
La respiration est le premier mouvement qui nous attache à la vie : sans ce mouvement, pas d’énergie et pas de vie. Le manque de cette énergie est crucial. Cette énergie est vitale, elle nous remplit de vie. La variation de cette énergie aura des conséquences sur tout notre organisme, sur toutes les fonctions vitales. Lorsqu’elle vient à manquer, le corps met en œuvre mille et une stratégies pour compenser et préserver ce qui est de plus précieux : la vie.
« Ça tombe bien ! » Dr Stefano Colombo, Revue Hypnose et Thérapies brèves 48
Pas vrai ! Mon vélo a de nouveau un pneu crevé, juste maintenant quand je dois aller au cabinet et suis déjà limite avec le temps.
« Salut ! mais que fais-tu dans le froid de ce matin ? » Ah, ça tombe bien, un ami qui passe au bon moment avec sa bagnole. Je lui demande un passage et réussis à arriver à temps au boulot.
Pas vrai ! Mon vélo a de nouveau un pneu crevé, juste maintenant quand je dois aller au cabinet et suis déjà limite avec le temps.
« Salut ! mais que fais-tu dans le froid de ce matin ? » Ah, ça tombe bien, un ami qui passe au bon moment avec sa bagnole. Je lui demande un passage et réussis à arriver à temps au boulot.
Laissez advenir...Sophie COHEN
Laissez advenir... Laissez advenir ce qui est... ce qui est là... présent, dans le maintenant à l’intérieur de vous-même... Sentir ce qui est en place à l’intérieur de vous-même... de votre corps... ressentir, oui, comme ça... c’est très bien... Juste res- sentir ce qui est... est-ce que vous sentez les zones fraîches... les zones chaudes ? Sentez-vous ici des tiraillements ? Là des fourmillements ?...
Laissez advenir... Laissez advenir ce qui est... ce qui est là... présent, dans le maintenant à l’intérieur de vous-même... Sentir ce qui est en place à l’intérieur de vous-même... de votre corps... ressentir, oui, comme ça... c’est très bien... Juste res- sentir ce qui est... est-ce que vous sentez les zones fraîches... les zones chaudes ? Sentez-vous ici des tiraillements ? Là des fourmillements ?...
Cette phobie, une peur de mourir… ou de vivre ? Dr Adrian CHABOCHE
Dans notre exploration des dimensions humaines et de ce qu’elles recèlent de mystérieux aux confins des pathologies, il semble nécessaire à notre pratique de s’autoriser à avoir des regards innovants et neufs sur ce que l’on pense savoir. Nos connaissances, les théories, si elles nécessitent bien qu’on les maîtrise à un moment donné, sont là pour être oubliées. Ou ré-inventées.
Dans notre exploration des dimensions humaines et de ce qu’elles recèlent de mystérieux aux confins des pathologies, il semble nécessaire à notre pratique de s’autoriser à avoir des regards innovants et neufs sur ce que l’on pense savoir. Nos connaissances, les théories, si elles nécessitent bien qu’on les maîtrise à un moment donné, sont là pour être oubliées. Ou ré-inventées.
Hypnose et danse avec Catherine Contour. Dr Dina ROBERTS
Pour ce numéro, j’ai choisi d’inviter Catherine Contour, dont la pratique artistique et pédagogique a été considérablement influencée par le pas de côté
qui l’a emmenée vers l’hypnose. A partir d’une formation aux arts décoratifs et à la danse contemporaine, elle enrichit son approche du corps et du mouvement par des pratiques énergétiques. C’est lors d’un stage de Qi gong organisé par Jean Becchio qu’elle découvre par hasard l’hypnose à laquelle elle décide alors de se former et qui prendra peu à peu une place centrale dans son travail.
Pour ce numéro, j’ai choisi d’inviter Catherine Contour, dont la pratique artistique et pédagogique a été considérablement influencée par le pas de côté
qui l’a emmenée vers l’hypnose. A partir d’une formation aux arts décoratifs et à la danse contemporaine, elle enrichit son approche du corps et du mouvement par des pratiques énergétiques. C’est lors d’un stage de Qi gong organisé par Jean Becchio qu’elle découvre par hasard l’hypnose à laquelle elle décide alors de se former et qui prendra peu à peu une place centrale dans son travail.
Les Grands Entretiens: Jean-Marc Benhaiem par Gérard Fitoussi
Une des premières questions qui me vient à l’esprit est celle qui a mené à la création du premier diplôme universitaire d’hypnose à la Pitié Salpêtrière, lieu hautement symbolique. Peux-tu nous en donner la genèse ? Jean-Marc Benhaiem : Après avoir ouvert une formation à l’hypnose médicale en 1996, je décide en 2000 de proposer à l’Université de la transformer en DU.
Une des premières questions qui me vient à l’esprit est celle qui a mené à la création du premier diplôme universitaire d’hypnose à la Pitié Salpêtrière, lieu hautement symbolique. Peux-tu nous en donner la genèse ? Jean-Marc Benhaiem : Après avoir ouvert une formation à l’hypnose médicale en 1996, je décide en 2000 de proposer à l’Université de la transformer en DU.
Livres en bouche. Jean-Marc Benhaiem
30 jours pour pratiquer l’autohypnose, Pascale Chami, psychologue, Damien du Perron, médecin. J’ai lu le livre et j’ai aimé ! Les deux auteurs de cet ouvrage, aidés par une longue pratique d’hypnothérapeutes, ont décidé de construire des exercices qui sont des réponses à nos problèmes.
30 jours pour pratiquer l’autohypnose, Pascale Chami, psychologue, Damien du Perron, médecin. J’ai lu le livre et j’ai aimé ! Les deux auteurs de cet ouvrage, aidés par une longue pratique d’hypnothérapeutes, ont décidé de construire des exercices qui sont des réponses à nos problèmes.
Recherches: Neuroscience of consciousness 2017. Dr Adrian CHABOCHE
Cet article est le fruit d’une initiative conjointe de la Société internationale d’Hypnose et de la Confédération française d’Hypnose et Thérapies brèves (CFHTB). Ces deux sociétés savantes ont réuni des scientifiques du monde entier en marge du Congrès international d’hypnose ayant eu lieu à Paris en août 2015, pour une journée de réflexion autour de la recherche sur l’hypnose.
Cet article est le fruit d’une initiative conjointe de la Société internationale d’Hypnose et de la Confédération française d’Hypnose et Thérapies brèves (CFHTB). Ces deux sociétés savantes ont réuni des scientifiques du monde entier en marge du Congrès international d’hypnose ayant eu lieu à Paris en août 2015, pour une journée de réflexion autour de la recherche sur l’hypnose.